La Ville d’Honfleur et l’Office de Tourisme proposent de tester en avant-première un nouveau parcours de visite virtuelle et ludique, jusqu’au 30 avril.

Retrouvez tous les articles sur nos produits et solutions à destination du tourisme & patrimoine
Les intérieurs de cet immeuble à trois niveaux ont conservé de nombreux éléments d’origine : huisseries, parquet, chauffage central … qui témoignent encore de leur qualité.
Les mêmes archives détaillent les sentences de la justice seigneuriale. On apprend ainsi qu’en 1480, un certain Etienne Briffeau exécuteur des sentences criminelles du bailliage d’Évreux reçoit la somme de cinquante sols pour « sa paine et voyage d’estre venu par trois fois audit lieu de Louviers battre un nommé Jehan Le Fevre dit Trenquart qui par justice avoit esté condamné à recevoir telle pugnition pour plusi eurs cas et abus par lui commis et fait en portant les pardons par le pays … »
Les livres de comptes de l’archevêque de Rouen, comte de Louviers confirment l’existence du Pilori. Ils permettent, à travers plusieurs pages de l’année 1479 qui décrivent par le menu les « Œuvres et Réparations » à exécuter pour réédifier le pilori, d’en esquisser une reconstitution.
Les mêmes archives détaillent les sentences de la justice seigneuriale. On apprend ainsi qu’en 1480, un certain Etienne Briffeau exécuteur des sentences criminelles du bailliage d’Évreux reçoit la somme de cinquante sols pour « sa paine et voyage d’estre venu par trois fois audit lieu de Louviers battre un nommé Jehan Le Fevre dit Trenquart qui par justice avoit esté condamné à recevoir telle pugnition pour plusi eurs cas et abus par lui commis et fait en portant les pardons par le pays … »
En 1324 l’archevêque de Rouen, Guillaume de Durfort, seigneur de Louviers, conclut un accord avec les « bourgeois drapiers » de la ville qui pourront utiliser « tous les jours la noeve (neuve) halle » en échange d’une rente annuelle de 70 livres et les dits bourgeois « rapareilleront et tiendront en estat ladite halle et les est aux d’icelle et les neteeront (nettoieront) ».
Avant guerre, le Grand Cerf était, comme le Mouton d’Argent, un établissement qui jouissait d’une excellente réputation et offrait à ses clients tout le confort moderne, dont le chauffage central. Comme l’indique la carte publicitaire ci-après.
Les bombardements et l’incendie de juin 1940 ont tout détruit entre la rue du Maréchal Foch et le bras de la Londe, entre l’église et le pont des Quatre moulins.
Sur cette photo de juin 1940, au premier plan, à droite, il ne reste rien de l’étude et des maisons du notaire. Lire la suite
En 1844, dans la foulée de l’ouverture des grands magasins tel le « Bon Marché », le premier magasin du nom de Gagne-Petit est fondé à Paris, rue des Moineaux. Ernest Cognacq (fondateur de la Samaritaine) y fait d’ailleurs ses débuts de vendeur. La façade du « Gagne-Petit » à Paris existe toujours et a été classée monument historique en 1983. Au cours du XIXe siècle, l’enseigne essaime à travers toute la France. Les magasins, en entrée libre, proposent dans leurs catalogues une multitude de produits manufacturés pour un prix modique car ces produits sont achetés en gros et stockés dans des centrales d’achats, technique de vente encore fort utilisée aujourd’hui !
C’est en 1700 qu’Antoine Letellier achète la maison de l’abbé Decrétot pour y installer une hôtellerie à cette enseigne, qu’il agrandit ensuite en y ajoutant la maison contiguë. L’établissement était alors une demeure ancienne à pans de bois, comme on le voit sur ce dessin du peintre lovérien Jacques-Philippe Renout, réalisé vers 1840. Lire la suite
hello [@] rendr.fr
Laurent 06 73 32 88 00
Envoyez votre CV à jobs [@] rendr.fr